Jésus et Sa Victoire Triomphante sur la mort

Source : Réflexion de Bonne Volonté, extraite du livre « Os mortos não morrem » [Les morts ne meurent pas], d’octobre 2018. | Mis à jour en décembre 2019.

Semaine Sainte ! Une date inspiratrice pour exalter la grande victoire de Jésus sur le dernier ennemi à vaincre par les êtres humains : la mort. Je vous demande donc la permission de vous rapporter des extraits de mon ouvrage Os mortos não morrem [Les morts ne meurent pas]. Dès l’ouverture, je m’interroge :

Et pourquoi est-ce que j’écris sur Jésus et Son Gouvernement Invisible au tout début de cet ouvrage ? La raison en est simple : c’est de Lui et de Ses enseignements universels que vient l’inspiration pour que nous suscitions un débat productif sur un sujet aussi fondamental que fascinant.

Tela: Ivan Aivazovsky (1817-1900)

C’est précisément pour cette raison qu’avec une grande joie, je suis allé rechercher la page que j’ai rédigée à Santa Maria de Arnoso, Lugar de Lages, au Portugal, le 15 avril 2001, un dimanche de la Résurrection de Jésus et de Sa Victoire Triomphante sur les impossibles. Venons-en au texte :

Arquivo BV

Alziro Zarur

Lorsque le Divin Maître a vaincu la mort, soit l’unique fatalité en ce monde, car tout le reste peut être matériellement surmonté, Ses Apôtres et Disciples ont été revêtus d’une puissance et d’un courage qui les ont amenés à répandre partout les enseignements du Sublime Ressuscité. Je ne fais pas seulement référence à cette génération contemporaine du Berger Céleste, mais aussi à ceux qui se sont succédé. La Résurrection du Christ a marqué un grand tournant dans l’Histoire de la planète. Si nous sommes ici aujourd’hui, une fois de plus, à défendre ce qu’Il a prêché, c’est grâce à l’effort de multitudes disséminées dans tous les domaines de la connaissance spirituelle-humaine, appartenant aux nombreux courants de pensée. Ces sommités, depuis des millénaires, n’ont pas laissé dans l’oubli les leçons mémorables d’humanité et de Spiritualité Œcuménique qu’Il a vécues, en en témoignant de la façon la plus distincte, consciemment ou non.

Tela: James Tissot (1836-1902)

Alziro Zarur (1914-1979), le regretté fondateur de la Légion de la Bonne Volonté (LBV) et proclamateur de la Religion de Dieu, du Christ et de l’Esprit Saint, soulignait dans ses célèbres conférences : « Si Jésus n’était pas ressuscité, il n’y aurait pas de Christianisme ».

José de Paiva Netto est écrivain, journaliste, homme de radio, compositeur et poète. Il est né le 2 mars 1941, à Rio de Janeiro, Brésil. Il est président de la Légion de la Bonne Volonté (LBV) et membre effectif de l’Association Brésilienne de la Presse (ABI) et de l’Association Brésilienne de la Presse Internationale (ABI-Inter). Affilié à la Fédération Nationale des Journalistes (FENAJ), à l’International Federation of Journalists (IFJ), au Syndicat des Journalistes Professionnels de l’État de Rio de Janeiro, au Syndicat des Écrivains à Rio de Janeiro, au Syndicat des Professionnels de la Radio à Rio de Janeiro et à l’Union Brésilienne des Compositeurs (UBC). Il fait aussi partie de l’Academia de Letras do Brasil Central [Académie des Belles Lettres du Brésil Central]. C’est un auteur de référence internationale reconnu pour la conceptualisation et la défense de la cause de la Citoyenneté et de la Spiritualité Œcuméniques, qui, selon lui, constituent « le berceau des valeurs les plus généreuses qui naissent de lÂme, la demeure des émotions et du raisonnement éclairé par lintuition, lenvironnement qui englobe tout ce qui transcende le domaine vulgaire de la matière et vient de la sensibilité humaine sublimée, comme la Vérité, la Justice, la Miséricorde, lÉthique, lHonnêteté, la Générosité, l’Amour Fraternel. En bref, la constante mathématique qui harmonise l'équation de l'existence spirituelle, morale, mentale et humaine. Or, sans cette conscience que nous existons sur deux plans, et donc, pas seulement sur le plan physique, il nous est difficile d'atteindre la Société réellement solidaire, altruiste et œcuménique, car nous continuerons à ignorer que la connaissance de la Spiritualité supérieure élève la nature des êtres et les conduit, en conséquence, à construire une citoyenneté planétaire. ».